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Ce qu'il faut de nuit
Edité par la Manufacture de livres - 2020
Un père élève seul ses deux fils. Ceux-ci grandissent et commencent très tôt à prendre leur destin en main. Une histoire de famille, de convictions, de choix et de sentiments ébranlés. Premier roman. Electre 2020
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Quatrième de couverture
Les hommes ont peur de la lumière
Dans un Los Angeles crépusculaire, le grand retour de Douglas Kennedy au roman noir !
Un après-midi calme et ensoleillé, un bâtiment en apparence anonyme et, soudain, l'explosion d'une bombe.
L'immeuble dévasté abritait l'une des rares cliniques pratiquant l'avortement. Une victime est à déplorer et parmi les témoins impuissants, Brendan, un chauffeur Uber d'une cinquantaine d'années, et sa cliente Elise, une ancienne professeure de fac qui aide des femmes en détresse à se faire avorter.
Au mauvais endroit au mauvais moment, l'intellectuelle bourgeoise et le banlieusard désabusé vont se retrouver embarqués malgré eux dans une dangereuse course contre la montre. Car si au départ tout semble prouver qu'il s'agit d'un attentat perpétré par un groupuscule d'intégristes religieux, la réalité est plus trouble et bien plus inquiétante...
Tout à la fois thriller haletant et chronique d'une Amérique en crise, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le puissant portrait d'un homme et d'une femme qui, envers et contre tout, essaient de rester debout.
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Biographie

Avis
Avis des professionnels
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Pas facile d'être père...
Un de mes coups de cœur de 2020. L’histoire d’un père de famille taiseux et de sa relation compliquée avec ses fils. Veuf, il les élève comme il peut. On suit les atermoiements de cet homme et, comme lui, on se demande comment se positionner quand un proche commet l’irréparable. Un roman intense sur la condition de père
Fabien-GRA - Le 26 juin 2021 à 14:31
Avis des lecteurs
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Quand trois vies basculent
Un homme veuf élève seul ses deux grands fils dans un contexte difficile, et assiste impuissant à la lente dégringolade de l'aîné. Alors quand leurs vies basculent soudainement, il faut puiser dans toute la puissance du lien familial pour continuer à vivre. Ce très joli roman dit avec des mots simples et avec beaucoup de pudeur la difficulté à être père, à être homme, il aborde les questions de responsabilité (réelle ou ressentie), de solidarité, de transmission familiale des valeurs et explore les chemins tortueux d'une vie qui bascule du jour au lendemain.
Hervé S - Le 03 août 2021 à 14:03 -
Premier roman, prix Stanislas 2020
Le narrateur est avant tout un père, veuf, qui élève du mieux qu’il peut ses deux fils. Trois hommes soudés et complices, jusqu’à ce que l’aîné s’éloigne et se mette à fréquenter des militants du Front National. Survient alors le drame : le fils tant aimé se retrouve en prison pour avoir tué un opposant politique qui l’avait agressé et salement amoché peu de temps avant. D’abord en colère et distant, perdu, le père revient vers son fils prisonnier, trop tard peut-être. Premier roman prometteur, sans un mot de trop, qui aborde la question de la transmission.
Morgane-BAT - Le 03 septembre 2020 à 09:06