Les dernières années de Gerbault, de 1936 à 1938, et sa quête désespérée pour sauver coûte que coûte la mémoire des Polynésiens et, qui sait, leur restituer un jour leur histoire et la "fierté de leur race".
Publié pour la première fois en 1941, ce texte raconte le retour en Polynésie du navigateur européen, son émerveillement, et surtout l'aventure d'un homme qui s'éloigne peu à peu de ses racines européennes pour épouser des valeurs...
Récit de voyage du navigateur solitaire qui parcourut le monde sur son voilier : le Firecrest. Après plusieurs escales, dont les Bermudes, Panama ou encore le Cap-Vert, A. Gerbault revient une dernière fois en France en 1929.