Vérification des exemplaires disponibles ...

Mon combat. 1, La mort d'un père : roman

Knausg°ard, Karl Ove (1968-....). Auteur

Fiquet, Marie-Pierre. Traducteur

Edité par Denoël - 2012

Dans cette autobiographie littéraire, l'auteur revient sur ses années de jeunesse marquées par la figure paternelle. Enfant trop sensible, le petit Karl Ove grandit à l'ombre d'un frère solaire, d'une mère souvent absente et d'un père aux colères et à la dureté imprévisibles. Tissé d'anecdotes, le récit évoque les premiers émois, la passion du rock et les inhibitions.

Se procurer le document

Vérification des exemplaires disponibles ...

Suggestions

Du même auteur

Mon combat : roman. 2, Un homme amoureux | Knausg°ard, Karl Ove (1968-....). Auteur

Mon combat : roman. 2, Un homme amoureux

Knausg°ard, Karl Ove | Livre | Denoël | 2014

Dans le deuxième tome de cette autobiographie littéraire, l'auteur aborde le sentiment amoureux, la paternité et le désir d'écrire, à travers le récit de son installation à Stockholm. Dans cette ville, il se lie d'amitié avec Geir...

Mon combat. 3, Jeune homme | Knausg°ard, Karl Ove (1968-....). Auteur

Mon combat. 3, Jeune homme

Knausg°ard, Karl Ove | Livre | Denoël | 2016

Troisième volume de l'enfance de l'écrivain, dans le sud de la Norvège à la fin des années 1960 et le début des années 1970. Entre le vélo, les filles, le football, les canulars, la musique, mais aussi la frustration et la crainte...

Mon combat. 1, La  mort d'un père | Knausg°ard, Karl Ove (1968-....). Auteur

Mon combat. 1, La mort d'un père

Knausg°ard, Karl Ove | Livre | Gallimard | 2015

Dans cette autobiographie littéraire, l'auteur revient sur ses années de jeunesse marquées par la figure paternelle. Enfant trop sensible, le petit Karl Ove grandit à l'ombre d'un frère solaire, d'une mère souvent absente et d'un ...

Chargement des enrichissements...

Avis

Avis des lecteurs

  • Une relation père-fils 3/5

    Dans le premier tome de ce roman autobiographique, Knausgård évoque son adolescence, période propice aux excès et à quelques expériences malheureuses, ses relations avec son frère, pour qui tout semble plus facile, la place de sa mère, ou ses absences, mais surtout l’ombre de son père, irascible et autoritaire. Publié en 2009 en Norvège, La mort d'un père a suscité une tempête médiatique. Le titre seul donnait déjà matière à polémique : Min kamp, mon combat, calque norvégien du titre du livre d’Hitler. Mais le texte a surtout été une pierre d’achoppement entre l’auteur et sa famille : par souci de sincérité, Karl Ove Knausgård a fait le choix de tout dire, il ne cache rien de la vérité, ou du moins de sa vérité, telle qu’elle est façonnée par les souvenirs de celui qui raconte. Le portrait du père, qui s’est esquinté dans l’alcool en entrainant la grand-mère, est sans concession. Il va sans dire que sa famille n’a guère goûté les vertus littéraires d’une telle honnêteté, à tel point que plusieurs de ses membres ont parlé dans la presse de « littérature de Judas ». L’embrouille familiale aura fait autant pour la renommée du roman que les critiques les plus élogieuses. Knausgård s’affranchit des conventions et nous offre au final, plus qu’une simple introspection, un exemple de relation père-fils, relation intime et complexe faite d’amour et de haine ouverte. Rien que pour ce portrait-là, l’œuvre mérite le détour. Certes, à la lecture, la profusion de détails pourra peut-être en décourager certains, mais il serait dommage de passer à côté de l’authenticité et de la puissance que dégage ce roman.

    Hervé S - Le 27 avril 2020 à 11:09