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Soul is heavy

Nneka (1981-....). Chanteur

Ms. Dynamite (1982-....). Chef d’orchestre | Black thought (1971-....). Chef d’orchestre

Edité par Sony Bmg Music Entertainment - P 2011

Nneka Egbuna, née le 24 décembre 1981 à Warri (Nigéria), est une chanteuse de hip-hop et soul germano-nigériane. Même si Nneka chante plus qu`elle ne rappe, elle nomme le hip hop comme sa racine musicale primordiale et plus importante source d'inspiration, tout en citant des artistes comme Fela Kuti et Bob Marley, ainsi que les rappeurs contemporains Mos Def, Talib Kweli, et Lauryn Hill comme influences principales dans sa propre poursuite de reconnaissance musicale. Ses paroles reflètent une grande partie de son histoire et de la vie au Nigeria ainsi que du temps qu'elle a passé en Europe. Ses chansons soulignent les problèmes du capitalisme, la pauvreté et la guerre et sont souvent chargées de messages moraux et références bibliques, certains commentateurs de musique la comparent à Erykah Badu, Neneh Cherry et Floetry.

Contient
  • Lucifer
  • Sleep/ Nneka / Ms. Dynamite
  • My home
  • Shining star
  • Restless
  • Don't even think
  • J
  • Stay
  • Soul is heavy
  • Do you love me now
  • Valley
  • V.i.p.
  • Camouflage
  • God knows why/ Nneka / Black Thought
  • Still I rise/ Nneka / Wura Samba / Mohammed

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Musique audio - 2006 - The Definitive Soul Collection

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Adultes | Musique | 1.4 RED | CD | Sorti | 11/01/2025

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Biographie

Otis Redding (9 septembre 1941 - 10 décembre 1967) est l’un des chanteurs de soul américain les plus importants. Mort à 26 ans dans un accident d’avion, il laissa derrière lui une œuvre de quelques années, extrêmement dense. [Otis en concert] Né dans la ville de Dawson, Géorgie, il a passé toute son enfance à Macon (Géorgie) dont il deviendra plus tard le maire d’honneur. Son père cumulait un temps partiel de prêtre et gagnait sa vie sur la base de l'armée de l'air. Comme beaucoup de chanteurs Noirs-Américains, l’influence religieuse de sa famille fut prédominante dans ses chansons. Très vite le petit Otis doit quitter l’école pour subvenir aux besoins de la famille. Entre autres petits boulots, pour six dollars la matinée il est batteur pour les groupes de gospel du dimanche matin. Otis grandit, reste longtemps à Macon évoluant entre sa vie familiale, capitale, auprès de sa femme Zelma. Sa rencontre avec Johnny Jenkins est une étape importante. Ce guitariste blanc survolté qui jouait la guitare à l’envers lui propose de rejoindre son groupe, les Pinetoppers. À ce moment Otis n’est encore qu’un membre parmi d’autres et Jenkins la star de la scène rhythm and blues locale. Mais son association avec Jenkins permet à Otis de rencontrer l’agent de celui-ci : Phil Walden. Otis convainc la maison de disques grâce à « These Arms of Mine », ballade soul qui permet au chanteur noir d’exprimer le trémolo de sa voix, avec excès et succès. Ce sont ces ballades qui assurèrent les succès d’Otis dans un premier temps (« That’s what my heart needs », « Pain in my heart », jusqu’au langoureux « I’ve been loving you »…) Alors que les titres plus durs et plus rythmés, les cuivres jouant toujours un rôle fondamental, connaissent un succès moindre. Avec « Mr Pitiful », les choses changent pour le chanteur. Le titre lui permet de rentrer dans le top ten des chansons rhythm and blues. Selon la légende, Otis surnommé Mr Pitiful à cause de sa voix mélancolique aurait crée cette chanson en quelques minutes avec l’aide de son arrangeur Steve Cropper. En 1965 l’album « Otis Blue » sort. L’album le plus complet de la carrière du chanteur comprenant notamment « Respect » (qui devint un succès fulgurant d'Aretha Franklin), « I’ve been loving you », « Ole Man Trouble », et de nombreuses reprises comme « Satisfaction » (des Rolling Stones) à la genèse controversée, « Shake » (de Sam Cooke), « My girl » (Smokey Robinson), « Down in the Valley » (Solomon Burke). Il ne reste plus que quelques annés à vivre à Otis. Avec « Try a little tenderness », Otis arrive au comble de la maîtrise de son art. Une chanson qui commence comme une ballade et se termine dans la furie des grands cuivres et des grosses caisses. Le chanteur soul a unifié sous un même titre ses deux genres familiers, la ballade et soul virevoltée. De sa collaboration avec Carla Thomas en 1967, on peut surtout retenir les titres « Lovey, Dovey » et surtout le volcanique « Tramp », enchaînant insulte sur insulte. Plus tard la même année, Redding a joué à l'extrêmement influent Festival international de musique pop de Monterey. Après une opération de la gorge, Otis peut à nouveau rechanter. Au mélancolique « Fa-fa-fa-fa-fa (sad song) », symbole de ses années pitifull et mélancoliques répond le truculent « The Happy Song ». Dans un mélange des genres étonnant, Otis veut d’ailleurs reprendre beaucoup de ses chansons en accélérant les ballades et en bridant ses chansons endiablées. Il n’en aura pas le temps. Le 10 décembre 1967 l’avion personnel d’Otis Redding avec à son bord les membres des Bars-Kays s’écrase dans un lac du Wisconsin. Il n’y a qu’un seul survivant, Otis est mort, trois ans jour pour jour après la mort de Sam Cooke, l’une de ses grandes idoles avec les Beatles et Bob Dylan. De nombreux tubes sortiront après sa mort, comme « Match Game » et bien sûr « Sittin’ on the Dock of the Bay » Si cette chanson est aujourd’hui celle que le grand public associe le plus volontiers au nom d’Otis, ce n’est pas seulement à cause de la mort tragique de l’auteur, survenue quelques jours après son enregistrement. Pour beaucoup il s’agit d’un virage pop qu’aurait pu prendre la carrière d’Otis, au sommet de sa gloire. Ses fils Dexter et Otis ont fondé avec leur cousin Mark Locket le groupe de funk/disco « The Reddings » à la fin des années 1970. En 2002, a été érigée une statue dans la ville où il a passé son enfance, Macon (Géorgie). Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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