Notre part de nuit

Enriquez, Mariana. Auteur

Edité par Sous-sol - 2021

Un père et son fils traversent l’Argentine par la route, comme en fuite. Où vont-ils ? À qui cherchent-ils à échapper ? Le petit garçon s’appelle Gaspar. Sa mère a disparu dans des circonstances étranges. Comme son père, Gaspar a hérité d’un terrible don : il est destiné à devenir médium pour le compte d’une mystérieuse société secrète qui entre en contact avec les Ténèbres pour percer les mystères de la vie éternelle.Alternant les points de vue, les lieux et les époques, leur périple nous conduit de la dictature militaire argentine des années 1980 au Londres psychédélique des années 1970, d’une évocation du sida à David Bowie, de monstres effrayants en sacrifices humains. Authentique épopée à travers le temps et le monde, où l’Histoire et le fantastique se conjuguent dans une même poésie de l’horreur et du gothique, Notre part de nuit est un grand livre, d’une puissance, d’un souffle et d’une originalité renversants. Mariana Enriquez repousse les limites du roman et impose sa voix magistrale, quelque part entre Silvina Ocampo, Cormac McCarthy et Stephen King.

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Romans étrangers

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Biographie

Gilbert Keith Chesterton, né le 29 mai 1874 à Londres et mort le 14 juin 1936 à Beaconsfield, est un écrivain anglais du début du XX, considéré comme étant de premier plan. Son œuvre est d'une grande variété : il a été en effet journaliste, poète, biographe et apologiste du christianisme. En tant qu'auteur de romans policiers, il est surtout connu pour la série de nouvelles dont le personnage principal est un détective en soutane : le père Brown. Il est particulièrement renommé pour ses œuvres d'apologétique chrétienne ; même ses adversaires ont reconnu l'importance de textes comme Orthodoxie ou bien L'Homme éternel qui parvint à convertir l’écrivain C. S. Lewis au christianisme. Chesterton parlait souvent de lui-même comme d'un chrétien « orthodoxe ». Membre de la Haute Église anglicane, il se convertit au catholicisme en 1922. George Bernard Shaw, son « adversaire et ami », dit de lui dans le magazine Time : « C'était un homme d'un génie colossal ». En tant que penseur politique, Chesterton se classe comme un réactionnaire en critiquant à la fois progressistes et conservateurs : « Le monde s'est divisé entre Conservateurs et Progressistes. L'affaire des Progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L'affaire des Conservateurs est d'éviter que les erreurs ne soient corrigées. » Il est l'un des créateurs de la philosophie économique du distributionnisme. Surnommé « le prince du paradoxe », il utilise abondamment proverbes et dictons populaires, et notamment les lieux communs en les détournant de leur sens. On trouve par exemple dans Le Nommé Jeudi cette phrase : « Les cambrioleurs respectent la propriété. Ils veulent simplement que la propriété, en devenant la leur, soit plus parfaitement respectée ». Jorge Luis Borges le revendique comme l'un de ses principaux maîtres.