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La petite boulangerie du bout du monde

Colgan, Jenny. Auteur

Sirven, Francine (19..-....). Traducteur | Vila, Ève (19..-...). Traducteur | Menanteau, Etienne (19..-....). Traducteur

Edité par Editions Prisma - 2015

Polly Waterford décide de quitter Plymouth pour se réfugier dans un petit port de Cornouailles, après les échecs de son mariage et de son entreprise familiale. Pour passer le temps, elle se consacre à son plaisir favori : fabriquer du pain. Les arômes qui émanent de chez elle attirent les habitants. De services en petits bonheurs partagés, elle ravive l'esprit d'entraide du village. À la fin de l'ouvrage, on trouve sept recettes de cuisine (pain blanc vite fait, bagels, shortbread, ...).

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Quatrième de couverture

Je me souviens...

« Je me rappelle les soirs rouges, où nous nous dévorions, insatiablement affamées, où nos baisers devenaient des meurtres. Je me rappelle les soirs violets, où notre désir ne désirait que l'anéantissement, et où nous avions la faim et la soif de la mort. »

Personnage clé de la Belle Époque, Natalie Barney rencontre en 1900 un des grands amours de sa vie : Pauline Tarn, alias Renée Vivien, grande poétesse. C'est après une rupture abrupte, et avec l'objectif de la reconquérir, que Barney écrit Je me souviens..., en 1904.

Trésor publié anonymement en 1910, cette lettre enfiévrée nous parvient aujourd'hui avec d'autant plus de force qu'elle aurait pu être oubliée. Exceptionnellement moderne, ce poème en prose oeuvre à la visibilité lesbienne dans une époque bercée par les convenances.

Avec cette célébration urgente de l'amour entre deux femmes, Barney habite tous les recoins de la passion, de la cristallisation à la défaite. Ode à la nature et au corps de la femme aimée, évocation sensible du désir et de l'étreinte ; Barney trouve la juste poésie pour rêver, souffrir, attendre et espérer.

Lien vers l'extrait

Biographie

Natalie Clifford Barney (Dayton, Ohio, 31 October 1876 - Paris, France, 02 February 1972), est une femme de lettres américaine du XX connue pour ses poésies, mémoires et épigrammes et une des dernières salonnières parisiennes. Ouvertement lesbienne, elle a cherché à faire de son salon littéraire une nouvelle Mytilène, une école de femmes poètes qui répondent à l'Académie française d'alors, strictement masculine. Pendant plus de soixante ans, le 20 de la rue Jacob a revivifié un monde littéraire et artistique féminin, à travers les nombreuses conquêtes amoureuses de son hôtesse, telles la courtisane Liane de Pougy, la mécène Élisabeth de Clermont-Tonnerre, la peintre Romaine Brooks, la romancière Colette à qui elle inspira le personnage de Flossie dans Claudine s'en va (1903) , mais aussi des membres de l'intelligentsia qui ont compté des deux côtés de l'Atlantique, tels Salomon Reinach ou Gertrude Stein, homosexuels ou non, mais favorables à la libération des mœurs et des arts. Par son indépendance d'esprit, sa liberté de mœurs, sa séduction, son goût pour les choses de l'esprit, elle a permis de donner, dans le Paris de la Belle Époque et de l'entre-deux-guerres, une bien plus grande visibilité aux lesbiennes.

Avis

Avis des lecteurs

  • Une auteure à découvrir et des romans qui donnent faim... 5/5

    Depuis la lecture de ce livre, je dévore tous les nouveaux livres de cette auteure. Préparez-vous un thé et installez-vous confortablement pour passer un agréable moment sur cette petite île des Cornouailles. Après un divorce et la faillite de son entreprise, Polly prend un nouveau départ en s'installant dans ce petit port de pêche. Le petit appartement qu'elle loue se situe au-dessus d'une boulangerie à l'abandon. Elle qui a toujours aimé faire du pain et des gâteaux va profiter de ce lieu pour renouer avec sa passion. Les bonnes odeurs de pain chaud vont attirer les habitants de l'île mais aussi un petit macareux et la colère de sa propriétaire... Voici donc un bon roman feel-good à dévorer ! Des suites à ne pas manquer : Une saison à la petite boulangerie et Noël à la petite boulangerie. Le petit + : les recettes sont à la fin du livre !

    AM - Le 20 novembre 2020 à 17:18